Ouvrages de Julia Le Brun
La Vengeance d'Apollon et le retour d'Hector Berlioz
Les Chevaliers d'Apollon II
Le monde de l’opéra est en émoi : un mystérieux psychopathe semble prendre un malin plaisir à supprimer les metteurs en scène les plus modernistes, tout en publiant des photos très artistiques de ses assassinats.Cela aurait-il un lien avec Les Chevaliers d’Apollon, un petit groupe de mélomanes que la pétillante Maria, jeune passionnée d’opéra, vient de créer, et qui commence à se faire remarquer, tant sur le web que dans les salles ? D’autant plus que le groupe vient de s’enrichir d’un nouveau membre, personnage mystérieux et haut en couleurs ressemblant étonnamment à Hector Berlioz. Tout cela n’est pas sans troubler le bel amant de Maria, Wolfgang von Schwangau, ténor star du monde lyrique, qui a déjà fort à faire avec sa carrière frénétique. Le commissaire Pierre mène l’enquête, et il a bien du mal à ne pas trouver tous ces suspects éminemment drôles et sympathiques… Julia Le Brun, conférencière spécialisée dans l’initiation à l’opéra, est l’auteur d’un premier roman : Les Chevaliers d’Apollon. Elle en signe ici la suite, faisant le récit de la vengeance impitoyable d’un orphelin de la Beauté. Elle offre en outre, à travers le regard de Berlioz réapparu, un témoignage de son époque.
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Les Chevaliers d'Apollon
Julia Le Brun
Roman
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C'est un roman d’aventures se déroulant dans le milieu de l’opéra, où s’interpénètrent les mondes peuplant l’imaginaire d’une jeune femme passionnée d’art lyrique, cherchant à trouver sa place dans la société, mais aussi à comprendre pourquoi la Beauté et l’harmonie sont si nécessaire à son équilibre.
Ce roman offre l’occasion d’une découverte de l’univers de l’opéra tout en proposant une réflexion sur le pouvoir du son sur le corps et l’impact de la musique sur les individus et la société. Il met également en scène un panel de personnages qui cherchent tous à leur manière à sublimer une réalité terne et monotone. Ils sont en quête de quelque chose de plus, un Graal qu’ils trouveront peut-être dans les voyages, l’art, la beauté, la musique. Mais c’est à travers une plongée dans un imaginaire ésotérique mêlant légendes celtiques, germaniques, chrétiennes et orientales qu’ils pourront découvrir l’origine et le pourquoi de leurs émotions. Les traditions mythologiques et spirituelles leur proposent une autre appréhension du monde, plus poétique et plus sensible, les progrès de la science ne faisant que confirmer ces intuitions universelles.
Julia Le Brun
L'expérience d'Olivier
L'expérience d'Anne
Ce roman d'aventures se lit avec un grand bonheur. Ce n'est pas un roman sur l'opéra, sur ce qui s'y passerait. C'est celui d'une fan d'opéra. C'est une aventure, l'histoire d'une quête matérielle, spirituelle, intellectuelle, portant sur une culture particulière qui nourrit l'imaginaire de l'auteur, une culture d'ailleurs d'une belle érudition dont témoignent aussi les textes livrés à la méditation au début des chapitres.
Un coup de chapeau à la petit Maria, incarnation de la joie de vivre, qui tient sa petite troupe avec un gant de velours.
C'est un roman juvénile et joyeux. J'ai bien ri en lisant certaines parties de l'ouvrage. Une belle histoire, bien construite et bien écrite. (Je pense à la description de Vienne, à celle de la forêt de Brocéliande.) La petite équipe des "amis chercheurs", à travers les échanges nécessaires sous forme de dialogues, en fait également un récit vivant dans un langage contemporain.
Dans ce livre, c'est le son que l'on traque, pour son impact sur la sensibilité et le corps de ceux qui le reçoivent, selon la forme qu'il peut prendre. D'où le rejet absolu ou l'accord parfait du récepteur. C'est un combat de l'Ombre et de la Lumière, du Mal et du Bien, de la laideur et de la Beauté, personnalisé ici par la présence d'un grand ténor lumineux, Wolfgang, par opposition à ce grand manipulateur de foules qu'est Marsyas.
L'auteur a fait son choix : ce sont les voix de l'opéra, et rien d'autre, puisqu'elles portent en elles la Beauté sur Terre.
Pour plus d'informations, rendez-vous sur le site :
http://chevaliers-apollon.blog4ever.com/
Heinrich, novella
Berlin, 1942. A l’aube de sa vie, le jeune et timide Heinrich ne vit que pour la musique: sa voix prometteuse se développera-t-elle pour faire de lui un grand chanteur d’opéra? A moins qu'il ne meure sur les champs de bataille d’Italie, où l'appellent les combats de l’armée allemande, à son grand désespoir ? Mais Heinrich ne sait pas que le destin lui réserve bien des surprises musicales et sentimentales. Car sans cette guerre qui l’horrifie tant, Heinrich n’aurait jamais rencontré cette si gracieuse musicienne italienne.Une nouvelle romantique et musicale, librement inspirée de la vie d’un jeune soldat de la Wehrmacht devenu plus tard un célèbre chanteur d’opéra, ou quand les horreurs du monde rattrapent des jeunes gens qui ne voudraient vivre que pour l’amour et la musique.
Prix : 12.90 € (+ 2€ de participation aux frais de livraison)
La Naissance de l'Opéra Bastille
Histoire de la construction d'un opéra qui se voulait moderne et populaire (1981-1990)
Julia Le Brun
Essai
En 1981, le nouveau Président François Mitterrand et le gouvernement socialiste décidaient de construire dans le cadre des Grands travaux une nouvelle maison pour la vénérable institution de l’Opéra de Paris, un bâtiment «moderne» qui pallierait les insuffisances du vieux Palais Garnier, et un opéra «populaire» qui offrirait les conditions d’un renouvellement du public de l’art lyrique. C'est ainsi que l'Opéra Bastille fut inauguré, à la date symbolique du 14 juillet 1989. Mais si les Parisiens et les amateurs d’opéra ont fini par s’habituer à ce «mastodonte», celui-ci suscita dès l’origine une certaine perplexité. Projet idéologiquement marqué dès sa naissance, le chantier de cet opéra a connu bien des déboires pour aboutir à un bâtiment dont l’architecture est le résultat de l’influence combinée de facteurs politiques, idéologiques, techniques, économiques et artistiques. L’étude de la construction de l’Opéra Bastille, de son lancement en 1981 à l'ouverture définitive en 1990, est avant tout une histoire pleine de rebondissements qui se lit comme un roman.
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